Triathlon M de Thonon les bains

Après deux triathlons S au mois de Mai, il est temps de passer à l’étape supérieure avec le Triathlon M de Thonon les Bains. Un triathlon au parcours vélo assez relevé. C’est parti ? 

Après deux triathlons S au mois de Mai, il est temps de passer à l'étape supérieure avec le Triathlon M de Thonon les Bains. Un triathlon au parcours vélo assez relevé. C'est parti ? 

Sommaire

Après les Triathlons S du Dauphiné et de Bourg en Bresse en mai, la préparation pour l’Ironman 70.3 des Sables d’Olonne continue avec le Triathlon M de Thonon les Bains. Un triathlon qui faisait partie de mes recherches de fin d’année 2023. Et que j’avais soigneusement sélectionné pour plusieurs raisons : une nage dans le Lac Léman que je connais après avoir fait 2 triathlons S à Genève, un parcours vélo au profil bien plus compliqué que pour les Sables, deux boucles de course à pied relativement plates et surtout des barrières horaires à ma portée. Du moins, je le croyais. En effet, j’ai validé mon inscription et basé ma stratégie d’effort en fonction d’informations non mises à jour… Mais nous y reviendrons plus tard. 

J’avais plusieurs objectifs à valider sur ce Triathlon : me mettre en difficulté sur un parcours vélo au ratio dénivelé/distance bien plus corsé que pour les sables, valider mon allure sur la nage, et surtout valider toute ma stratégie nutrition/hydratation. Je devais finir ce triathlon sans être « trop » fatiguée, avec la capacité avec faire le double dans 3 semaines.

Compte-Rendu du Triathlon M de Thonon les Bains 2024

La natation

Le départ est donné à 10h. Je ne suis pas spécialement réveillée, ni motivée à l’idée de nager dans une eau houleuse à seulement 18 degrés. Je me place en fin de groupe pour ne pas être gênée et pouvoir poser ma nage tranquillement. 

Je m’attendais à une eau calme et lisse. Sauf qu’un coup de vent s’est levé, et avec lui un sacré courant. Il va falloir lutter contre les vagues. Mon parcours ressemble à un triangle : une première ligne droite le long des quais, une deuxième face au courant et une troisième pour retourner au point de départ, en prenant toujours les bouées épaule gauche. 

La première ligne droite se passe bien. Il y a des vagues certes, mais rien d’insurmontable. Je retrouve mes sensations quand je me suis entraînée en Martinique dans la mer des Caraïbes ou quand je nage chez mes parents au Cap d’Agde. J’avance bien. Je nage avec deux autres personnes. Ma montre sonne 500 mètres avant que je n’atteigne la première bouée, et je vois que j’en suis à seulement 12 minutes et 16 secondes de course. Soit du 2’27/100m. Une super allure. Ce qui m’encourage à ne rien lâcher.

Je continue à nager en me concentrant sur la première bouée. Au moment où j’arrive à l’atteindre, j’en suis à 700 mètres. Je tourne à gauche pour me retrouver face au courant… et c’est là que les choses se gâtent. Les vagues s’intensifient. Je galère à avancer. Et je commence à paniquer. J’ai du mal à respirer, j’ai l’impression de faire du surplace. Le kayak me voit en panique et se rapproche de moi. Finalement, l’avoir à côté me rassure et j’arrive à repartir. Je dévie fortement par rapport à la deuxième bouée mais je m’accroche. D’autant plus que ma montre m’indique que j’ai atteint les 1000 mètres, de nouveau avec une super allure. 

Savoir que j’ai le kayak juste à côté me rassure fortement. Si jamais je suis en trop grande difficulté, j’ai une solution de replis ultra rapide. Je passe la deuxième bouée et je me dirige vers la sortie de l’eau. Il me reste à faire la plus grande ligne droite du parcours. Moment totalement loufoque : si jusqu’à présent, je comptais mes coups de bras jusqu’à 100 afin de me concentrer sur ma nage, je me mets subitement à penser au théorème de Pythagore… Oui, oui, le parcours ayant une forme de triangle rectangle, je commence à faire de petits calculs dans ma tête pour estimer la distance qu’il me reste à parcourir, ainsi que le rab que j’ai pu faire jusqu’à présent. 

Oui mon cerveau est très bizarre. Mais ce petit intermède mathématique m’occupe l’esprit pendant un bon moment et ma montre finit par m’indiquer que j’ai nagé 1500 m en 36 minutes…. Toujours une super allure. Et surtout l’entrée du port est en vue. J’ai vraiment fait le plus gros. 

Une fois dans le port, je suis à l’abri des vagues et du courant. C’est nettement plus agréable pour nager. Je file jusqu’à la sortie de l’eau. Un coup d’oeil à ma montre : 1994 m en 48 minutes et 22 secondes, soit du 2’26/100m… Une très bonne surprise !

Le vélo

Une transition de 5 minutes plus tard durant laquelle j’avale ma première compote Andros Sport, et me voici partie sur le parcours vélo. Un parcours dont je sais qu’il va être difficile jusqu’au km 20. En effet, tout le dénivelé positif se retrouve sur cette première partie. 

Et effectivement, cela commence à monter dès le troisième kilomètre. Je ne suis pas sortie dernière de l’eau, je ne suis pas partie la dernière du parc à vélo, mais dès la première montée, je me fais rattraper. Ce n’est pas grave, j’ai l’habitude. L’essentiel pour moi est de faire mon effort, et d’arriver au bout. 

Un peu de dénivelé pour me mettre en jambe pour la suite. Car le dénivelé est réparti sous forme de plateau sur ces premiers 20 km : 5 km relativement roulants pour s’échauffer, 5 km de vraies montées, 5 km de récupération et 5 autres km pour s’achever. 

Je me concentre à la fois sur ma stratégie de nutrition et sur ma cadence de pédalage. Côté nutrition, j’écoute les conseils de Carine, une amie habituée des sorties vélo bien longue avec plus de 4 chiffres côté dénivelé : manger toutes les 45 minutes, voire toutes les 30 minutes pendant les montées, et surtout alterner entre du gras pour de l’énergie sur la durée et des glucides rapides pour des coups de boost pendant l’effort.

Le premier bloc de 5 km passe assez facilement, en 19 minutes. Les premiers gros pourcentages de montée commencent à apparaître. On est sur du 7-8 %. Je monte lentement, mais je monte. Au km 8, je prends ma première gorge de purée Holyfat pour les lipides. Un coup d’oeil à ma montre pour confirmer que je suis bien dans les temps de ma stratégie de course. J’ai en tête de faire un maximum de 2h30. Je sais que je descends très bien, alors je vise un maximum de 2h pour faire tout le D+ et atteindre les 20km. 

Après deux triathlons S au mois de Mai, il est temps de passer à l'étape supérieure avec le Triathlon M de Thonon les Bains. Un triathlon au parcours vélo assez relevé. C'est parti ? 

Je mets 50 minutes pour faire les 10 premiers kilomètres. Je me dis que ce serait bien de tenir la cadence pour le deuxième bloc de 10 km. Cependant, je sais que de plus gros pourcentages m’attendent entre le km 15 et le km 20. Alors je profite des 5 km suivants pour récupérer un maximum. C’est une partie vallonnée avec des petits coups de cul et de belles lignes droites en descente. Je fais toujours attention à manger et à boire à intervalles réguliers. 

Je termine les 15 premiers kilomètres en 1h07. Une petite pause ultra rapide sur la place de l’Église d’Orcier pour boire un verre d’eau auprès des bénévoles, car mine de rien j’ai la bouche un peu pâteuse à cause de ma boisson isotonique et de ma boisson d’efforts, toutes deux au goût sucré. Puis je repars sur l’avant dernière grosse montée. 

Et celle-ci, elle fait mal. Avec son pourcentage au-dessus des 10%, mon allure en prend un coup. Je passe de 10km/h en montée… à 5,5 km/h. Une portion de 300 mètres est particulièrement compliquée avec ses 13%. Un des bénévoles descend de la voiture balais pour marcher à côté de moi, le temps de ce passage compliqué. Et m’encourage façon « Tour de France ». Il m’indique précisément où s’arrête cette montée. Ce qui m’aide énormément. 

18,6 km quand j’arrive enfin à bout de ce gros morceau de D+. Dès que j’atteins une surface plate, je m’arrête pour avaler rapidement la fin de ma purée Holyfat. J’en profite pour demander aux bénévoles où j’en suis par rapport à la barrière horaire. Ils me rassurent en me disant que ça le fera, que je suis dans les temps (j’apprendrais plus tard que ce n’était pas vrai, mais que voyant que j’étais lucide et que je montais correctement bien que lentement, ils avaient voulu me laisser la possibilité de faire mon vélo dans les meilleures conditions).

Les bénévoles m’indiquent que j’ai un kilomètre de faux plat descendant, suivi d’une dernière petite montée de 400m et qu’ensuite j’en aurais fini avec le D+. Et je repars toute contente, parce que je sais que mon effort sera fini après ça, qu’il ne me restera plus que de la descente. 

La voiture me double dans cette dernière montée et les deux bénévoles en sortent pour me faire comme une ligne d’arrivée symbolisant le sommet. Quand je dis qu’ils sont ultra adorables ! 20 km en 1h53. J’ai rempli mon objectif d’être en haut en moins de 2h. Maintenant, il faut attaquer la descente. Juste avant de m’élancer, les bénévoles me disent de faire attention car les virages sont très serrés.

Effectivement, je ne suis pas très rassurée sur la première partie de la descente. Je suis constamment sur les freins, la route n’est pas très bonne, plutôt étroite, ça descend fort et les virages sont vraiment très serrés. Je recommence à respirer dès que je quitte les petites routes de montage pour retrouver les départementales au bitume de meilleure qualité. Et là, ça descend tout seul. Je file vers le parc à vélo sans réfléchir. La seule chose à laquelle je pense, c’est qu’il faut que je prenne le plus d’élan et de vitesse pour arriver le plus vite possible…

Le parc à vélo est en vue. Je vois à ma montre 35,35 km en 2h14. Soit 21 minutes pour faire les 16 kilomètres de descente. Je cherche l’entrée du parc à vélo pour attaquer ma deuxième transition … pour voir qu’elle est fermée. Les arbitres m’annoncent que je suis hors-délai, car arrivée après 13h (il est 13h10). Chose que je ne comprends par, car pour moi, nous avions jusqu’à 14h pour finir le vélo. J’étais certaine de l’avoir lu sur le site internet, au moment de faire mes recherches et de valider mon inscription. 

La course à pied

Je suis assommée. Encore un DNF pour une raison aussi nulle qu’une mauvaise compréhension des barrière horaires. Ce n’est même pas une défaillance physique de ma part. J’avais juste mal compris le règlement. Et ça me fout les boules. D’autant plus que physiquement, je ne me sens absolument pas entamée. Je n’essaie même pas de discuter avec les arbitres pour avoir l’autorisation de partir pour la course à pied. Surtout qu’il reste vraiment beaucoup de temps pour boucler les 10 km et que je sais que j’aurais pu les faire. (On avait jusqu’à 15h pour boucler la CAP, et il est à peine 13h15…)

J’étais prête à reprendre toutes mes affaires et rentrer. Mais Perrine, mon amie avec qui j’ai fait le déplacement, me prend mon vélo des mains et me secoue. « Va mettre tes baskets et va courir. Même si ce n’est que 5 km. C’est une course entraînement, et non une course objectif. Alors va au moins de ton entraînement. Tu dois aller courir, je ne te laisse pas le choix ». 

J’écoute ce qu’elle dit. Je rentre dans le zone de transition pour changer de chaussures et partir courir. Je marche jusqu’au départ de la course à pied. Je suis en pleurs. Frustration et déception. Je suis fatiguée de toujours rencontrer des pépins sur mes courses. J’aurais aimé que pour une fois, tout se passe correctement. Sans accro. Un des bénévoles du poste de ravitaillement sur la course à pied me rejoins et marche avec moi. Il s’assure que tout va bien de mon côté et me donne toutes les instructions dont j’ai besoin pour faire le parcours de course à pied en toute sécurité. Sachant qu’ayant été déclarée DNF, ils avaient commencé à débaliser le parcours. 

Je marche tout le premier kilomètre. J’ai vraiment beaucoup de mal à me mettre dedans mentalement. Il va falloir attendre que Perrine me rejoigne sur son vélo pour que je commence à trottiner. J’alterne entre marche et course. Perrine m’oblige à faire lé débrief de ma natation et de mon vélo, ainsi qu’à faire un état des lieux de mes ressources : j’ai fait une bonne nage, j’ai fait un bon vélo compte-tenu du dénivelé et de mon niveau actuel… et surtout physiquement ça va. Elle m’oblige à voir à voir tous les points positifs que j’ai validé. 

Petit à petit, je reprends le dessus. Au bout de trois kilomètres, j’arrête l’alternance entre marche et course, et je me mets vraiment à courir. Et je ne m’arrêterais pas de courir jusqu’à la ligne d’arrivée que les bénévoles me laissent franchir de manière symbolique. J’en profite pour rendre ma puce de chronométrage.

J’aurais couru juste assez pour voir que du côté des jambes, ça va. Les manchons de compression remplissent leur rôle, je suis beaucoup plus confortable que sur mes précédents entraînements, et que je peux encore largement courir. 

Ce que je retiens de cette course

Le quiproquo sur les barrières horaires

Le gros point de frustration est et restera cette mauvaise compréhension des barrières horaires de ma part. J’avais basé toute ma stratégie en pensant avoir 4 heures pour boucler la natation et le vélo, suite à une information trouvée sur le site internet et le règlement au moment de mes recherches. J’ai encore le document dans lequel j’ai recensé tous les options qui s’offraient à moi avec les dates, le temps de trajet par rapport à Lyon, le prix du péage, le prix d’une éventuelle nuit d’hôtel, les distances et parcours de chacun des disciplines et les barrières horaires associées. 

Sauf que je pense que j’ai fait mes recherches bien trop tôt dans la saison, et que le site internet n’avait pas encore été mis à jour avec le règlement de 2024. Une barrière horaire en 4h, même si le vélo allait être difficile, ça passait. Une barrière en 3h, je n’avais pas le niveau. Et je ne me serais pas inscrite à ce triathlon. 

C’est d’autant plus frustrant que le temps alloué pour la course à pied était large, et que j’aurais pu avoir le temps de boucler l’entièreté de mon triathlon dans les 5 heures imposées par l’organisation. Tanpis, c’est le jeu. 

Je ne retiendrais que la bienveillance des bénévoles qui ont tout fait pour m’assurer de faire mon vélo en toute sérénité et sécurité, qui m’ont réconforté à l’annonce de mon DNF par les arbitres, qui m’ont encouragé à aller courir malgré tout, histoire d’aller jusqu’au bout de mon effort et surtout qui m’ont laissé passer symboliquement l’arche d’arrivée. Je crois que sans cette bienveillance, j’aurais eu beaucoup plus de mal à me concentrer sur le positif de cette course. Parce que du positif, il y en a beaucoup !

Après deux triathlons S au mois de Mai, il est temps de passer à l'étape supérieure avec le Triathlon M de Thonon les Bains. Un triathlon au parcours vélo assez relevé. C'est parti ? 

Je reviendrais chercher cette médaille ! Et cette fois-ci, ce sera une vraie médaille de finisher et non un lot de son consolation ! Au passage, je te souhaite vraiment d’avoir une copine comme Perrine dans ta vie ! 

Les objectifs validés pour les Sables ?

Comme je le disais un peu plus haut, je suis venue sur ce Triathlon M de Thonon les Bains avec un certain nombre d’objectifs à cocher vis-à-vis de ma préparation pour l’Ironman 70.3 des Sables d’Olonne.

Pour être totalement transparente, le matin-même, j’avais pris la décision de ne pas prendre le départ des Sables. Je ne me sentais pas capable d’aller au bout de ce Triathlon M, et encore moins des Sables. D’autant plus que ma blessure au mollet a mis un sacré frein dans ma préparation, et me gêne encore pour courir aujourd’hui. 

J’ai pris le départ absolument pas motivée. Et au fur et à mesure de la matinée, j’ai pris confiance, et je me suis rendue compte que si j’allais le faire. À chaque discipline, j’atteignais les objectifs personnels que je m’étais fixée. 

Sur la partie nage, je fais mon meilleur chrono sur la distance et j’atteins l’allure que je m’étais fixée pour les Sables. Je n’aurais pas dit non à des conditions de nage plus simples, avec moins de vagues et de courant. Mais je m’en suis très bien sortie. Et clairement, c’est ce qui m’a donné la confiance pour enchaîner avec la suite.

Je savais que le vélo allait être compliqué avec ses 600m de dénivelé positif sur les 20 premiers kilomètres, avec des pourcentages allant jusqu’à 12%. Je suis une mauvaise grimpeuse, le dénivelé me met toujours un gros coup d’arrêt sur mes allures, mais c’est en me mettant en difficulté que je vais réussir à progresser. Et effectivement, j’ai progressé sur ce type de profil. Je monte toujours très lentement, mais beaucoup plus facilement. Le cardio monte beaucoup moins haut et les cuisses ne tremblent plus. Je suis restée lucide tout au long de la montée, et j’ai super bien géré la descente. J’avais tablé sur un 2h20-2h30 pour boucler le parcours, et j’auras mis 2h14.

Quant à la course à pied, même si mentalement, je n’étais plus dedans, ça allait. Il m’a fallu 3 kilomètres pour me ressaisir. Mais du côté des jambes et de l’état de fatigue générale, j’étais bien. Les manchons de compression ont rempli leur rôle en m’apportant du confort du côté des jambes et en diminuant ma gêne au mollet. 

Après 4h07 d’efforts, je ne suis pas spécialement fatiguée. J’aurais pu continuer. J’étais bien. Pas aussi fraîche qu’au départ. Mais j’étais bien. À J+2, aucune courbature à déclarer. J’ai repris l’entraînement sans aucune gêne. 

Le dernier point que j’ai validé, c’est la nutrition. Très régulièrement pendant mes entraînements, j’ai eu l’impression d’être à court d’énergie. C’est pourquoi après avoir discuté avec des personnes plus aguerries en vélo et en triathlon, j’ai changé ma façon de m’alimenter pendant mon effort : une compote Andros Sport dès la sortie de l’eau, puis une alternance de purée Holyfat et de pâte de fruits Décathlon toutes les 30 à 45 minutes en fonction de la difficulté du parcours, plutôt que toutes les heures. Côté boisson, j’alterne entre une boisson à base de malto et une boisson isotonique. J’ai vraiment vu la différence. 

Bref que de points validés pour les Sables ! Je ne sais pas si cela sera suffisant, mais c’est le minimum que j’avais besoin d’atteindre. Je suis déjà très contente du chemin parcouru sur cette dernière année.  

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Finalement, pas mal de positif sur ce triathlon M de thonon les bains, malgré le DNF !

 

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