Triathlon S de Chantilly 2025
Début Juin 2025, j’ai lancé ma saison de triathlon avec le format S du Château de Chantilly : 750 m de nage dans les canaux, 20 km (et un peu plus) de vélo dans les villages autour et 5km de course à pied dans les allées du parc… Une épreuve difficile, mais qui fait du bien !

Sommaire
Début juin, j’ai eu la chance d’être invitée au triathlon de Chantilly (Merci encore Nicolas !). J’avais initialement prévu de faire le format M (1500m de nage, 40 km de vélo et 10 km de course à pied), mais au vu de ma forme non-olympique, j’ai décidé de basculer sur le S. En effet, le mois de mai a été assez compliqué pour moi avec l’annonce du lipoedeme que j’ai très mal pris. Cela m’a mis un très gros coup, et j’ai complètement levé le pied côté entraînements.
Tout l’hiver je me suis concentrée sur la course à pied afin de préparer le semi-marathon de Prague. J’ai également pas mal nagé. Et j”avais dans l’idée de reprendre le vélo juste après Prague, début avril… Sauf que je ne l’ai pas fait. J’ai du faire 4-5 sorties vélo en 2025. Ne parlons pas des enchaînements vélo-course.
Bref, tout ça pour dire que je suis tout sauf en forme et entraînée. J’ai fait l’impasse sur le triathlon S de Bourg en Bresse. Chantilly ouvre donc ma saison de triathlon. Mon seul objectif est de le faire. D’être capable de le finir malgré le peu d’entraînements spécifiques réalisés jusqu’à présent.


Le récit de mon triathlon à Chantilly
La natation
Samedi 10h, me voilà à enfiler ma combinaison néoprène sur les bords du canal du Château de Chantilly, à éviter de me demander à quelle température est l’eau ou si je vais manger des algues. Les arbitres nous font le briefing, nous rentrons dans l’eau… puis le départ est donné.
Dès le début, je comprends que cela va être compliqué : l’eau est très sombre, en plus d’être froide. J’ai beaucoup de mal à caler mon rythme. Nous devons faire un triangle dans les bras des canaux, d’abord aller chercher la bouée du côté droit, traverser dans l’autre sens pour atteindre la bouée du côté gauche puis revenir au point de départ. Je laisse partir les plus rapides devant moi pour éviter de me prendre des coups. Parce que vraiment je déteste la machine à laver au départ des triathlons…
Le groupe commence à s’étirer, je trouve ma place. Je me dis chouette, je vais pouvoir commencer à poser mon crawl, à caler ma respiration pour avancer. Sauf que… une partie du canal côté droit est empiété par les algues. On perd pas mal d’espace et on se retrouve à nager les uns sur les autres. Pire à faire des brasses de petit chien pour garder la tête hors de l’eau tout en écartant les algues. Cela dure une bonne quintaine de mètres. Pour le coup, je me demande pourquoi le canal n’a pas été nettoyé au vu du nombre de personnes qui va nager dedans dans le weekend.
J’essaie d’éviter de penser aux algues et de me concentrer sur la première bouée. J’espère vraiment que j’en aurais fini avec les algues, une fois cette première partie terminée. Sauf que non, je vais continuer à me bagarrer avec sur une bonne partie de la ligne droite me conduisant à la seconde bouée. Dès que je commence à faire du crawl, j’en ai sur la tête. Je galère à sortir les bras de l’eau, tellement cela s’accroche. À ce stade, je ne regarde absolument plus mon chrono. je sais qu’il va être catastrophique tellement je nage peu de crawl.
Petit à petit, les algues diminuent et cela devient plus facile de nager. En revanche, l’eau reste toujours aussi sombre. Par moment, j’ai l’impression d’avoir un masque de nuit sur les yeux tellement c’est noir. La deuxième bouée est à portée de bras. Il ne me reste plus que la dernière ligne “droite” avant de sortir de l’eau.

Je suis enfin débarrassée des algues, je peux nager à peu près correctement. J’essaie d’éviter au maximum les gens autour de moi… même si je ne les vois souvent qu’une fois que je leur fonce dedans. Et là le drame arrive. Un nageur me passe dessus et me noie. Je bois la tasse. Et bien comme il faut… Mon estomac réagit aussitôt, et je vomis tout ce que j’ai avalé (et je ne veux même pas savoir ce que j’ai avalé…). Je prends quelques minutes pour arrêter de tousser à m’en décrocher les poumons. Puis je repars. J’ai hâte d’en finir.
Ce n’était que 750 mètres, mais ils m’ont paru le double. C’est la première fois que je suis aussi contente de sortir de l’eau sur un triathlon. Quoi que les 1500m dans le Léman un peu (beaucoup) agité pour Thonon-les-bains, c’était pas mal non plus ! Je sors de l’eau en 26:03 pour 844 m (il va falloir que j’apprenne à nager droit), soit du 3’05/100m de moyenne.
La natation, ça c’est fait ! Mais avant d’attaquer le vélo, il me faut encore atteindre la zone de transition. J’ai 400 mètres à faire entre la sortie du bassin et l’emplacement de mon vélo, et surtout une belle flopée d’escaliers à franchir. Au moins, cela me laisse le temps de finir de roter (hum… sexy Margaux) et d’évacuer tout l’air que j’ai malencontreusement avalé. Mais aussi de commencer à enlever ma combinaison. Quelle joie d’atteindre la zone de transition (je ne sais même plus si c’est ironique ou non ! ).
Le vélo
Arrivée au vélo, j’enlève rapidement mes affaires : bonnet, lunette et combinaison néoprène. Pour une fois, je suis relativement efficace. Le parc est déjà bien vide. Vu mon chrono absolument pas exceptionnel à la natation, ce n’est absolument pas étonnant. Au moins je ne suis pas bousculée. J’avale rapidement une première compote Andros Sport. Sur ce triathlon, je serais en full ravido glucidique. J’espère ne pas faire d’hypoglycémie à l’effort, alors qu’avec l’augmentation du dosage de mon traitement pour la résistance à l’insuline, ma glycémie a tendance à faire n’importe quoi…
Le casque est attaché sur la tête, les lunettes posées sur le nez, les chaussures de vélo enfilée, le dossard tourné dans le dos. J’attrape mon vélo et me dirige vers la sortie de la zone de transition. On démarre par un chemin relativement long pour sortir du parc du château. Pas le meilleur endroit pour rouler correctement, c’est humide, ça glisse, il y a pas mal de trous et de cailloux, et surtout c’est particulièrement étroit. Doubler est difficile, trouver son allure est difficile. La bonne nouvelle, c’est que cela me permet de me mettre tranquillement dans ma course. Même si pour être honnête, je ne m’attends à aucun miracle sur le vélo : j’ai dû le sortir 4 ou 5 fois depuis janvier, et faire moins de 200 km… Autant dire que je n’ai aucun entraînement dans les jambes et que j’y vais au talent. Talent que je n’ai pas, on est d’accord.
On sort du parc et c’est parti pour la petite boucle à faire avant de revenir pour attaquer la course à pied. Très rapidement, je sens que les jambes ne sont pas au rendez-vous et que je vais être en mode balade tellement je n’ai pas d’énergie. On se dirige dans un premier temps vers Senlis. La route est calme, valonnée mais sans réelle difficulté technique. Le paysage est plutôt agréable à regarder. Cela tombe bien, vu la vitesse à laquelle je roule, je vais avoir le temps de l’observer ce paysage. Vraiment, je sens que je n’ai absolument dans les jambes.
Je boucle le premier 5 km en 15’35 (je te l’ai dit, je suis en mode balade). Pour le moment, tout va bien. Hormis que je n’avance pas. Mais je ne m’inquiète pas. J’ai plus de deux heures pour boucler mon vélo. Même avec mes allures de tortue, j’ai énormément de marge. Alors pas de stress, l’essentiel, c’est d’arriver jusqu’à la T2 sans bobo (et sans hypo si possible !).
J’arrive à Senlis, le premier tiers du vélo est fait. Je vois que j’ai un peu d’avance sur le kilométrage sur ma montre par rapport aux panneaux de la course. Mais rien de vraiment dramatique. Je me dis que mon GPS a été un peu gourmand. Bref, on contourne Senlis pour attaquer la deuxième portion du parcours : une longue ligne droite jusqu’à Pontarmé.
Ce n’est pas la partie la plus sympathique du parcours. Nous sommes sur une nationale, parfois à deux voies. La ligne droite me semble interminable, surtout avec son petit vallonnement qui m’oblige à relancer sans arrêt. Ce n’est pas un dénivelé de ouf, mais plus sur des faux plats montants qui cassent bien les jambes (surtout quand de base elles ont choisi de faire grève). Et surtout je me rends compte que l’écart entre le GPS de ma montre et les panneaux de l’organisation annonçant les kilomètres ne cessent de s’accroître.
Ma montre m’annonce 14km alors que je passe devant le panneau 10 km (alors que j’en suis à plus de 45 minutes depuis la sortie de la zone de transition). D’un côté, ma Garmin m’indique que j’ai fait les 2/3 de la course, quand les panneaux de l’organisation me disent qu’il me reste encore la moitié à parcourir. Là, je me dis qu’il y a un soucis. Soit je suis VRAIMENT plus lente que d’habitude (même si bon 10km en 45 minutes sur du presque plat, il ne faut pas abuser…). Soit il y a quelque chose qui cloche avec le parcours.




À partir de ce moment, je ne vais avoir de cesse de comparer ma montre et les panneaux pour voir si l’écart se réduit ou non afin d’essayer d’estimer le nombre de kilomètres restants. Parce que là concrètement j’en ai marre, j’ai une douleur dans le bas du dos qui commence à se diffuser dans la jambe droite. J’ai l’impression d’avoir zéro énergie et de ne pas avancer. Je me fais rattraper et doubler, par les premiers de l’épreuve d’après… et par les derniers de mon épreuve. Ou du moins une partie des derniers.
J’essaie de rentrer dans ma bulle pour oublier tout ça. Je sais que j’ai fait le plus gros à vélo. Oui, je suis fatiguée (plus parce que c’est mon état général d’énergie, que parce que j’ai tout donné sur le vélo et la natation). Mais ça va le faire. Une petite compote AndrosSport pour recharger un peu les batteries.
Ma montre bipe 20km. J’en suis à un peu plus d’une heure et cinq minutes de courses. Et je viens à peine de dépasser le panneau km 16 de l’organisation. Je ne sais pas exactement combien de kilomètres il me reste. J’essaie de ne pas trop y penser. C’est la première fois que 20 km à vélo me paraissent aussi long. Je guette l’entrée du parc, car je sais qu’à ce moment-là il me restera un gros kilomètre. Je décide de ne plus regarder ma montre, car cela me décourage plus qu’autre chose.
Finalement, j’aperçois enfin le panneau km 19 et surtout la fameuse entrée du parc qui annonce la dernière ligne droite avant la zone de transition. La petite douleur dans le bas du dos est toujours présente. J’avance vers la fin du vélo et c’est tout ce qui compte. J’en ai tellement marre, je veux juste descendre de mon vélo et passer à la course à pied.
Et j’en termine enfin le vélo après 1h17… et surtout 23,11 km…
La course à pied
Quel bonheur de descendre de mon vélo… L’inconvénient d’arriver aussi tard sur la T2, c’est que c’est un peu le bazar dans les vélos et quelqu’un a pris ma place. Je dois d’abord décaler deux vélos pour pouvoir poser le mien. Après ça, je change rapidement de chaussures, j’enlève mon casque et file démarrer la course à pied… Enfin, filer c’est un bien grand mot. Je marche toujours un peu entre le vélo et la course à pied, pour préparer mes jambes à courir.
Je croise Adrien et Simon à la sortie de la zone de transition. Ce qui me lance à courir. J’ai deux boucles à faire dans le parc du Château. Il y a beaucoup de monde et d’ambiance. Cela fait du bien pour une fois de ne pas courir totalement seule. Seul petit problème : j’ai une barre de douleur dans le bas du dos. Il va falloir faire avec jusqu’à la ligne d’arrivée. J’en ai fini avec ce fichu vélo, ce n’est pas pour arrêter maintenant.
Simon trottine un peu avec moi sur le côté (alerte à la police du triathon, c’était seulement 30 secondes). Il m’encourage pendant que je râle. En vrai, tant que je râle, c’est que ça va au fond. Mais ça fait du bien de parler du vomito dans l’eau et du parcours vélo plus long que prévu. N’empêche que je regarde Simon courir à côté de moi comme si de rien n’était alors que le weekend précédent il a fait 11ème à la maxi-race (oui, oui, le tour du lac COMPLET avec ses 100 km et plus de 5000m de D+ …). Quel enfoiré ! Elles sont où les courbatures ? Bref, ce petit interlude me lance sur ma partie course.
Cela fait du bien de savoir que je vais régulièrement voir Adrien et Simon sur le parcours. Que je vais avoir du soutien. Après avoir fait quelques courses seules sans personne pour t’attendre à l’arrivée, je sens vraiment la différence. Bref, avec tout ça, on pourrait croire que j’ai couru quelques kilomètres. Mais non, j’ai à peine fait 500 mètres… Et vu la douleur que j’ai dans le bas du dos, je me dis que cela va être long ces 5 km… Mais bon, un pied devant l’autre et je franchirais la ligne d’arrivée.
J’alterne marche et course en essayant de me donner des objectifs visuels. “Je cours jusqu’au pont. Après le ravito, je me remets à courir”… Je “cours” le premier kilomètre en 10:18… Décidément ce triathlon sera l’un des plus lents que j’aurais fait (si ce n’est LE plus lent). Bref, je sais que ce n’est pas aujourd’hui que je vais faire des records de vitesse. L’objectif, c’est vraiment de le terminer sans trop subir et surtout en gardant le sourire.



Je passe la zone de ravitaillement, une des bénévoles me reconnait et marche quelques mètres avec moi. Je continue d’alterner marche et course, en essayant de me débarrasser de cette douleur dans le bas du dos. Je cours le deuxième kilomètre en 10:35. Lente mais constante. Je suis sur la fin de la première boucle. Il y a pas mal de monde pour encourager. J’entends le speaker féliciter les finishers. Clairement je vois mon objectif et je me concentre là-dessus. “Margaux, oui t’es explosée, oui tu as en marre… Mais là tu as fait le plus gros.”
Je termine cette première boucle. Un coup d’oeil à montre, et je vois que sur la partie course également il y aura un petit de rab du côté des distances. Mais contrairement au vélo, je sais exactement combien je vais faire de plus. Je croise à nouveau Adrien et Simon qui me crient dessus “tout droit jusqu’à la ligne d’arrivée !” J’en termine avec le troisième kilomètre en 10:25. Je visualise ce qu’il me reste à faire. Le petit virage pour contourner le canal, la zone de ravitaillement, un petit pont pour revenir sur le Grand Canal, les bords en U de ce fameux Grand Canal… et la dernière ligne droite. Mais je n’en suis pas encore là. J’ai encore un peu plus de deux kilomètre à courir/marcher.
Finalement, le plus compliqué, ce ne sont pas les jambes. C’est vraiment cette barre de douleur dans le bas du dos qui m’empêche de me tenir droite. Je ne sais pas d’où elle peut provenir. J’ai vraiment l’impression que c’est musculaire. Sur les moments où je marche, j’essaie de mobiliser la zone en enchaînant les rétroversions et antéversions du bassin. Dès que cela va mieux, je me remets à courir. Je termine le quatrième kilomètre en 10:13. Je sais qu’il me reste maintenant 1,5 km à faire. Je serre les dents et je me concentre sur cette ligne d’arrivée.
Je suis de nouveau au bord du Grand Canal dans lequel j’ai nagé plutôt dans la matinée. Je suis un peu seule, car la grande majorité des participants de ce matin sont arrivées. Mais ce n’est pas grave. Je sais que je vais finir mon épreuve, que l’on m’attend sur la ligne d’arrivée… et que cela va le faire (même si bon, j’ai noté dans un coin de ma tête de prendre rendez-vous avec un osthéo pour cette semaine… parce que ce n’est pas normal d’avoir aussi mal dans le bas du dos). Ce cinquième kilomètre, je ne le vois pas passer. Je me perds dans mes pensées. Je continue d’alterner course lente et marche. Je le termine en 10:09.
Et là, je croise une de mes abonnées (avec exactement la même trifonction que moi), qui se met à courir avec moi. Elle m’accompagne sur ma dernière ligne droite et m’encourage. Vraiment grâce à elle, j’oublie ma douleur. Et surtout je vis une fin de course bien plus légère. Officiellement, ce que nous faisons – à savoir courir à deux – est interdit par le règlement de la fédération française de triathlon. Mais je crois bien que les arbitres avaient décidé d’être plus coulants avec les fins du classement…
On fait les derniers 500 mètres ensemble. Elle me lâche dans le dernier virage, la dernière ligne droite avant la ligne d’arrivée. Et là, par magie, je retrouve de l’énergie, mes douleurs s’envolent (enfin temporairement… parce que le retour à froid a bien piqué…). J’accélère progressivement pour finir en sprint.
J’en ai enfin fini après 55:48 de course à pied, pour un total de 2h52 pour la totalité du triathlon. Ce n’était vraiment pas le triathlon du siècle en terme de chrono. Mais je l’ai fait.



Mon équipement sur le Triathlon S du CHâteau de Chantilly

Ce que je retiens de ce triathlon
On ne va pas se mentir, j’ai subi cette course du départ jusqu’à la ligne d’arrivée. Manque d’énergie certes, mais surtout manque d’entraînements. J’ai pris un coup de massue avec l’annonce du lipoedeme et le discours de l’angiologue concernant ma pratique sportive. J’en suis ressortie assez écoeurée de voir que tout ce que je faisais ne servait à “rien” ou presque. Je dois avouer que je suis encore en train de digérer tout ça, et encore aujourd’hui, je n’ai l’énergie ni physique ni mentale de reprendre mon rythme habituel d’entraînement. Ma discipline et ma motivation sont parties en vacances, bien loin et sans moi.
Honnêtement, j’ai fait mes pires chronos sur la natation et le vélo. Sur la course, je n’ai jamais brillé sur mes triathlons. À l’exception peut-être du triathlon M d’Aix les bains où j’avais été capable de courir les 10 km sans alterner avec la marche. Donc cela ne change pas de d’habitude.
Compte-tenu avec le peu d’entraînement spécifique pour le triathlon (parce que oui, j’ai quand même bien couru et nagé cet hiver, sans compter la musculation !), je m’en suis pas trop mal sortie. J’ai subi, mais jamais jusqu’à franchir la limite. Je paie mon manque d’entraînements, mais j’ai été capable d’aller jusqu’au bout. Et de ramener la médaille à la maison. Tu n’imagines pas combien cela fait plaisir.
J’ai pas mal été aidée par le fait que les barrières horaires sur le triathlon de Chantilly sont extra larges. En effet, au vu du nombre de formats proposés sur le weekend, les courses s’entre-mêlent, ce qui laissent une marge de manoeuvre très importante pour les participants les plus lents. Même pour le format M du dimanche, les barrières horaires vélo et course à pied sont extrêmement larges, étant donné qu’elles se basent sur le XL qui a lieu en même temps.
Ce triathlon m’a redonné l’envie d’accrocher un nouveau dossard triathlon. Peut-être un S en septembre, avec un parcours vélo pas trop compliqué et les barrières horaires qui ne soient pas stressantes. Et surtout facilement accessible depuis Lyon, d’autant plus que je n’ai plus de voiture pour me déplacer… Pour le moment, la priorité est d’encaisser cette succession de mauvaises nouvelles et de retrouver l’envie et l’énergie pour m’entraîner.
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En route pour le prochain dossard !
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