Mon premier Swim&run découverte dans les Gorges de la Loire (et pourquoi j’ai adoré)
Le Swim&Run dans les Gorges de la Loire offre une expérience unique où l’on alterne course à pied sur des sentiers de trail et baignades en eau libre au cœur d’un décor spectaculaire. Chaque tronçon réserve ses propres sensations, entre effort, découverte et émerveillement devant la nature préservée. Accessible aux débutantes comme aux plus expérimentées, c’est une aventure sportive conviviale qui donne envie de revenir année après année.
Sommaire
Tu sais ce qu’il se passe quand on mélange une paire de baskets, une combi de natation et un joli terrain de jeu comme les Gorges de la Loire ? Eh bien… ça donne un Swimrun ! Et pas n’importe lequel : le format découverte, parfait pour tester l’expérience sans avoir besoin d’un niveau de machine de guerre.
Alors oui, je te vois déjà froncer les sourcils : “Nager, courir, re-nager, re-courir… mais pourquoi s’infliger ça ?” Eh bien parce que c’est fun, que ça change de nos courses habituelles, et surtout parce que c’est une aventure que tu peux vivre à ton rythme, sans chrono qui te met la pression.
J’ai pris le départ cette année, j’ai sué, j’ai nagé, j’ai (un peu) râlé dans les montées, j’ai fini dernière… mais j’ai eu le sourire tout du long. Pas de barrière horaire, des bénévoles aux petits soins, un décor de carte postale… Bref, si tu veux vivre une course où tu te dépasses tout en profitant de la nature, je t’emmène avec moi pour revivre cette expérience. Et qui sait, l’an prochain, ce sera peut-être toi sur la ligne de départ ?
Qu’est-ce que le Swimrun et le format découverte ?
Le Swimrun, c’est un sport un peu atypique, un mélange entre la course à pied (souvent du trail) et la natation en eau libre. La particularité ? Contrairement au triathlon, il n’y a pas de transition où l’on change de tenue ou de matériel. Ici, tu fais tout en mode “tout terrain” et “tout équipé” : tu cours avec ta combinaison, tu nages avec tes baskets aux pieds. Dit comme ça, ça paraît un peu farfelu, mais c’est justement ce qui fait son charme ! Très vite, tu oublies ce côté “équipement inhabituel” et tu te laisses porter par l’expérience : un enchaînement de tronçons où tu passes de la terre à l’eau, puis de l’eau à la terre, en mode aventurière.
Le format découverte est, comme son nom l’indique, pensé pour les curieuses qui veulent tester la discipline sans se lancer directement dans de gros kilomètres. Les distances sont plus courtes que sur les formats “courts”, “moyens” ou “longs” que l’on retrouve sur certains Swimrun, mais cela ne veut pas dire que c’est une promenade de santé. En général, on enchaîne plusieurs petites portions de natation et de course, ce qui permet de s’habituer au rythme, de se familiariser avec la nage en eau libre et d’expérimenter la sensation assez unique de ressortir de l’eau pour repartir directement en courant. Ici, j’avais 5 tronçons, dont 3 de course à pied/trail (700m – 3,3km – 700m) et 2 de natations (500m) pour un total de 5,9 km et 140m de D+.
Ce qui rend ce format particulièrement séduisant, c’est son accessibilité. Tu n’as pas besoin d’un gros niveau, ni en natation, ni en course à pied. Il suffit :
- d’être capable de courir quelques kilomètres sans souci (pas besoin d’un chrono canon, juste d’avoir l’habitude de courir),
- de savoir nager en eau libre (pas parfaitement, mais être à l’aise et en sécurité),
- et surtout d’avoir envie de tenter une expérience un peu différente.
En réalité, le Swimrun découverte, c’est moins une question de performance que d’esprit d’aventure. C’est parfait pour celles qui aiment déjà courir, qui aiment barboter dans l’eau l’été, et qui se disent qu’associer les deux pourrait être fun. Et crois-moi, ça l’est !
Le Swimrun des Gorges de la Loire : un cadre exceptionnel
Quand tu arrives aux Gorges de la Loire, impossible de ne pas être séduite. Le paysage est juste dingue : une eau calme qui serpente entre les collines, une nature préservée, et cette impression d’être plongée en pleine carte postale. Le tout avec la base nautique de Saint-Victor-sur-Loire comme camp de départ et d’arrivée : un lieu qui se prête parfaitement à l’aventure, avec vue imprenable sur les gorges et une ambiance déjà sportive rien qu’en posant le pied sur le site.
Au-delà du décor, c’est surtout l’ambiance humaine qui fait la différence. Pas de stress, pas de chrono qui met la pression, juste une organisation carrée et des bénévoles adorables qui savent mettre à l’aise tout le monde. Ils sont là pour encourager, guider et sourire. Et crois-moi, quand tu t’élances sur une discipline qui sort de ta zone de confort, ça change tout d’avoir ce soutien autour de toi.
Le parcours est à la hauteur du lieu : les tronçons de course se déroulent sur de vrais sentiers de trail. Ça grimpe, ça descend, ça relance, bref tu sens bien que ce n’est pas de la simple course sur bitume. En contrepartie, tu es récompensée par des points de vue incroyables sur les gorges et par des passages plus sauvages, en pleine nature. Et quand vient le moment de plonger, c’est un autre univers : calme, rafraîchissant, presque apaisant. L’eau des gorges t’offre une parenthèse avant de repartir pour la suite du parcours, baskets aux pieds et combi encore dégoulinante.
Côté équipement, chacun arrive avec son matériel, mais plusieurs options sont possibles. Tu peux louer une combinaison de swimrun sur place si tu n’en as pas. Dans mon cas, petite anecdote : j’étais venue avec ma simple trifonction, pensant que ça suffirait. La Team Harmonie Mutuelle, qui m’avait invitée, m’a gentiment proposé d’essayer l’une de leurs combinaisons de swimrun et de faire la course avec. Autant te dire que j’ai sauté sur l’occasion (et ça m’a sauvé la mise !). Ajoute à ça :
une sangle pour accrocher ton pull buoy à la cuisse (indispensable pour la nage avec les baskets),
tes baskets de trail pour encaisser les chemins caillouteux,
et le fameux bonnet de bain coloré fourni par l’organisation (chaque distance ayant sa couleur, impossible de se tromper).
Avec une paire de lunettes de piscine en plus, tu es prête à te lancer dans l’aventure.
Bref, le Swimrun des Gorges de la Loire, c’est un cocktail parfait : un cadre magnifique, une organisation aux petits soins et un esprit convivial. Une course qui t’offre autant de challenge que de plaisir, et qui donne déjà envie de revenir l’année suivante.
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Mon compte-rendu du Swimrun Format découverte
Avant la course : préparation et ambiance
J’arrive le matin de la course sur la base nautique de Saint-Victor-sur-Loire, un peu perdue au milieu de cette ambiance particulière. C’est la première fois que je participe à un Swim&Run. C’est un tout nouvel univers que j’explore ce matin. Et je ne suis pas sûre que mes expériences en triathlon et en trail soient suffisantes pour appréhender ce qui m’attend. Ce qui me permet de ne pas paniquer, c’est que je sais qu’il n’y a absolument aucune barrière horaire sur mon format.
Je vais donc pouvoir découvrir cette nouvelle discipline sans avoir à me bagarrer avec la barrière. Je ne suis absolument pas inquiète pour la partie natation. En revanche, j’appréhende un peu plus le tronçon de trail du milieu : ses 3,3 km avec 180m de D+. J’observe ce qu’il se passe autour de moi. Comment les plus aguerris sont habillés, comment ils ont positionnés leur pull buoy… Ce genre de choses. La team Harmonie Mutuelle me prête une combinaison de Swim&Run (dont je n’ai pas pensé à regarder la marque), ainsi que le sifflet obligatoire, le pull buoy et le système d’accroche autour de la cuisse.
Habituellement, je déteste tester du nouveau matériel le jour d’une course. Mais aujourd’hui, je n’ai pas le choix. Et surtout je suis extrêmement reconnaissante d’une part d’être présente sur cet événement, et d’autre part qu’Harmonie Mutuelle se soit assurée que j’ai tout ce qu’il faut pour en profiter au maximum.
Le briefing des organisateurs a vite mis tout le monde à l’aise : rappel des règles de sécurité, explication du balisage, encouragements chaleureux. On nous a surtout répété l’essentiel : “Profitez, allez à votre rythme, et n’oubliez pas de lever la tête pour admirer le paysage !”. Rien que ça, ça donnait le ton. À ce moment-là, j’ai senti que je n’étais pas dans une course classique mais bien dans une aventure collective, où l’important n’était pas la performance mais l’expérience. Surtout sur le format découverte qui porte très bien son nom.
L’esprit convivial était déjà très présent entre les participants : quelques blagues pour dédramatiser la fraîcheur de l’eau, des sourires échangés en ajustant nos bonnets de bain colorés, et même des encouragements avant le départ entre inconnus. C’est fou comme, dans ce genre d’événement, tu te sens rapidement intégrée à une petite famille.
Pendant la course : effort, sensations et paysages
L’heure du départ approche. Je me place en fin de sas pour ne gêner personne et trouver mon rythme plus facilement. Tout s’enchaîne vite. Le départ est lancé. On commence par 700 mètres de course à pied, sur de la route pour atteindre la première mise à l’eau.
C’est une mise en bouche qui passe très bien. En même temps, en cinq minutes, très peu de choses peuvent se passer. J’ai à peine le temps de trouver mon rythme, qu’il faut déjà se jeter à l’eau. Je fais rapidement pivoter le pull buoy entre mes cuisses. En effet, sur un Swim&Run, on ne se change absolument pas entre les tronçons, comme on peut le faire en triathlon. Ainsi, on court avec la combinaison de swim&run et on nage avec ses baskets. Le pull buoy est là pour nous aider à faire flotter nos jambes alourdies par les baskets.
Ces 500 mètres de natation passent plutôt sereinement. Même si je me sens un peu compressée par la combinaison néoprène dont la fermeture me monte un peu trop haut au niveau du cou. Les joies d’être plus large que haute 😂 Non en vrai, sur un gabarit comme le mien, petite avec des formes, c’est une galère de trouver des vêtements (sportifs ou non) dans lesquels je rentre, mais qui ne soient pas trop longs… Bref, revenons à ce Swim&Run. Très rapidement, j’ouvre un peu ma combinaison pour que la fermeture ne m’appuie plus sur la gorge, et surtout je profite du paysage qui est juste magnifique. L’eau était agréable, même s’il y avait un peu trop de pollens flottants à mon goût, et le décor autour des gorges donnait presque l’impression de nager dans un lac de montagne.
Autant je suis rentrée la dernière dans l’eau, autant je ne suis pas la dernière à en sortir. Je suis contente de voir que j’ai doublé quelques personnes sur cette première portion de natation. J’en profite car je sais que dans peu de temps, je serais seule en fin de course. Je sors de l’eau en 16 minutes. Ainsi, après les 2 premiers tronçons, j’en suis à 21 minutes de course. J’attaque maintenant le troisième tronçon. L’échauffement est terminé, les choses sérieusement peuvent commencer.
Et quand je dis sérieuses, je pense surtout à mes cuisses qui ont bien compris que 140m de D+, concentrés sur 2,5 km, ça pique fort. C’était un vrai passage de trail : chemins caillouteux, racines, passages raides où tu n’as d’autre choix que de marcher en poussant sur les cuisses… Bref, un tronçon qui teste autant ton cardio que ton mental. Effectivement, les quelques personnes que j’ai réussies à doubler sur la natation me doublent à nouveau les unes après les autres dès la première montée. Et je me retrouve très rapidement seule. Ce qui m’arrange bien tellement je suis maladroite dans les racines et les cailloux.
Les premiers bonnets rouges (les participants de la moyenne qui fait un peu plus de 20km au total) commencent à me doubler. Je fais particulièrement attention à me décaler pour laisser le passage à chaque fois que j’entends quelqu’un arriver. Les sentiers sont assez étroits, j’avance lentement. Autant ne pas gêner les fusées qui me dépassent.
Sur les 3,3km de ce tronçon, nous avons un peu plus de deux kilomètres de montée. Une montée qui ferait rigoler les vrais traileurs… de mon côté, je sens que cela tire pas mal des cuisses et dans les mollets. Et sur la seule portion de plat, sans aucune difficulté technique, j’arrive à me faire une cheville… Bref.
Arrivée en haut, la vue valait largement l’effort : un panorama incroyable sur les gorges, avec l’eau en contrebas et la verdure à perte de vue. Un moment de pure récompense avant de basculer dans un kilomètre de descente sur route, qui m’a permis de relancer un peu et de souffler avant… le deuxième tronçon de nage. Je termine ce troisième tronçon en un peu plus de 42 minutes. Décidément, le trail et moi, nous ne sommes absolument pas copains. En même temps, si je m’entraînais plus souvent sur du dénivelé, cela pourrait un peu m’aider…
La bonne nouvelle, c’est que je sais que maintenant, j’ai fait le plus dur. Il ne me reste plus que 500 mètres de nage et 700 mètres de course. J’ai mal aux jambes, mais l’eau va me faire beaucoup de bien. Il faudra juste que je fasse attention à la cheville qui tire un peu, quand je ne la pose pas dans l’axe.
Ce second tronçon de nage me paraît interminable. Le cadre est magnifique, mais je n’en vois pas la fin. Sans compter que le GPS de ma montre bug complètement et m’annonce des distances impossibles. Selon lui, j’aurais fait 1000m en 19 minutes et 12 secondes, soit du 1:55/100m. Ce qui ne correspond pas du tout à mon niveau. En fonction du courant, je nage 500m entre 12min30 et 15-16min. Ce qui me laisse penser que ce deuxième tronçon de natation faisait un peu plus de 500m. Mais certainement pas 1000m. Bref, je sors de l’eau pour attaquer la dernière partie de ce swim&run.
Le dernier tronçon, 700 mètres de course, m’a semblé à la fois interminable et trop court. Interminable parce que mes jambes criaient “stop”, mais trop court parce que je savais déjà que la ligne d’arrivée approchait et que je n’avais pas envie que cette aventure se termine.
Après la ligne d’arrivée : satisfaction et récupération
Et puis… la délivrance. Je passe sous l’arche après 1h30 d’effort, officiellement dernière du format découverte. Mais crois-moi, à ce moment-là, je me suis sentie comme une gagnante. Pas parce que j’avais fait un chrono, mais parce que j’avais vécu quelque chose de fort, de différent, et que j’étais allée au bout malgré mes doutes et mes faiblesses en trail.
Les émotions étaient multiples : la fierté d’avoir terminé, la joie d’avoir osé, le soulagement de voir mes jambes arrêter de grimper (enfin). Mais surtout, une profonde gratitude envers les bénévoles et les autres participants. Même en arrivant dernière, je n’ai ressenti aucune gêne, aucune pression. Au contraire : j’ai eu droit aux encouragements, aux sourires, aux félicitations comme si j’avais gagné. Et ça, c’est l’esprit Swimrun.
Je suis repartie fatiguée, trempée, mais surtout avec un énorme sentiment de fierté et l’envie de recommencer. Parce qu’au final, le Swimrun, c’est moins une course qu’une expérience humaine et sportive unique, qui te marque bien plus que ton chrono.
Pourquoi participer au Swimrun des Gorges de la Loire ?
Si tu hésites encore à franchir le pas, laisse-moi te donner quelques (excellentes) raisons de tenter l’expérience l’année prochaine.
Un format accessible à toutes
Le format découverte est vraiment pensé pour les débutantes ou pour celles qui veulent s’initier sans pression. Pas de barrière horaire sur ce format (un vrai luxe quand on a l’habitude de regarder le chrono en stressant), des distances raisonnables qui te permettent d’alterner effort et plaisir, et une organisation qui encourage à aller au bout, peu importe ton rythme. La seule petite règle de courtoisie : sur les chemins de trail, pense à bien te décaler pour laisser passer les fusées des formats moyen et long, qui partent avant et te rattraperont probablement. Et tu sais quoi ? Elles le font toujours avec le sourire et un petit mot d’encouragement.
Un cadre naturel unique
Participer au Swimrun des Gorges de la Loire, c’est comme courir et nager au cœur d’une réserve grandeur nature. Tu passes d’un sentier ombragé à une montée panoramique, puis tu plonges dans l’eau entourée de collines verdoyantes. Chaque tronçon t’offre une nouvelle surprise. Même quand les jambes brûlent dans une côte ou que l’eau paraît interminable, tu lèves la tête et tu réalises la chance que tu as de courir et nager dans un tel décor.
Une ambiance conviviale et motivante
Là-bas, tu n’es jamais seule. Les spectateurs, les bénévoles, les autres participants… tout le monde a le mot gentil qui va bien pour te rebooster. C’est une ambiance bienveillante, sans comparaison avec certaines compétitions très “chrono, classement, performance”. Ici, tu vis une aventure collective, même si tu cours à ton rythme. Et crois-moi, ça fait toute la différence.
Une porte d’entrée vers l’univers Swimrun
Enfin, le format découverte est une vraie rampe de lancement. Tu découvres les sensations uniques de la discipline (sortir de l’eau en baskets dégoulinantes pour repartir sur un chemin, ça ne s’oublie pas), tu apprends à gérer tes transitions, tu prends confiance… Et qui sait ? L’année suivante, tu te sentiras peut-être prête à tenter un format plus long comme le format court qui lui aussi est exempt de barrières horaires.
Mon bilan personnel du Swimrun découverte dans les Gorges de la Loire
En posant le pied sur la ligne d’arrivée, trempée, essoufflée, mais le sourire jusqu’aux oreilles, je me suis dit une chose : c’était dur… mais qu’est-ce que c’était bon ! Ce Swimrun a été pour moi une expérience aussi bien humaine que sportive. J’ai découvert mes limites dans les montées de trail (coucou les 140m de D+ 😅), j’ai goûté au plaisir de la nage en eau libre avec mes baskets aux pieds, et surtout, j’ai partagé des moments simples mais précieux avec les bénévoles et les autres participants. C’est ce mélange d’effort, de convivialité et de nature qui rend cette épreuve si unique.
Est-ce que je le referais ? Clairement, oui ! Même en ayant terminé dernière de mon format, je garde un souvenir incroyablement positif. Parce qu’au final, le Swimrun découverte, ce n’est pas une histoire de chrono. C’est une histoire de sensations, de dépassement de soi, de rires partagés, et de fierté d’avoir osé quelque chose de différent. C’est une course que je conseillerais sans hésiter à toutes celles qui veulent s’offrir une belle aventure sportive, sans pression, mais avec beaucoup d’émotions.
Alors si tu hésites encore, laisse-moi te glisser un mot d’encouragement : n’attends pas d’avoir “le niveau” pour tenter l’expérience. Le Swimrun découverte est justement fait pour ça : te donner la chance de vivre une vraie aventure, accessible, fun et inspirante. Tu ressortiras peut-être fatiguée, mais surtout fière, grandie… et avec l’envie de recommencer.
Une chouette expérience ce Swim&run !
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