Les hormones clés impliquées dans le SOPK expliquées simplement

On nous dit souvent que le SOPK est un “dérèglement hormonal”… mais quelles hormones sont réellement en cause et comment interagissent-elles entre elles ? En réalité, ce n’est pas une seule hormone qui déraille, mais toute une chaîne de communication entre le cerveau, les ovaires et le métabolisme. Quand la LH prend trop d’avance sur la FSH, que les androgènes s’emballent et que l’insuline s’en mêle, c’est tout l’équilibre hormonal féminin qui perd le rythme.

On nous dit souvent que le SOPK est un “dérèglement hormonal”… mais quelles hormones sont réellement en cause et comment interagissent-elles entre elles ? En réalité, ce n’est pas une seule hormone qui déraille, mais toute une chaîne de communication entre le cerveau, les ovaires et le métabolisme. Quand la LH prend trop d’avance sur la FSH, que les androgènes s’emballent et que l’insuline s’en mêle, c’est tout l’équilibre hormonal féminin qui perd le rythme.

Sommaire

Si tu as déjà lu mon article « Tout savoir sur le SOPK », tu sais que le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) ne se résume pas à quelques petits kystes sur les ovaires (d’autant plus que ce ne sont pas des kystes… mais des follicules contenant des ovules immatures). C’est avant tout une question d’hormones, de signaux mal réglés, de cycles un peu capricieux et parfois… d’un corps qui ne réagit plus comme on voudrait.

Et quand on est femme active, coureuse ou triathlète, ce déséquilibre peut vite devenir frustrant : fatigue inhabituelle, cycles irréguliers, difficultés à récupérer, baisse de performance ou encore variations de poids qui semblent sortir de nulle part. Tout cela, ce n’est pas “dans la tête” — ce sont les hormones qui orchestrent tout.

Mais entre LH, FSH, testostérone, insuline ou encore hormone anti-Müllérienne, il est facile de s’y perdre… et d’avoir l’impression qu’il faut un diplôme de biochimie pour comprendre ce qu’il se passe dans notre propre corps 😅.

Alors aujourd’hui, on va reprendre les bases — simplement, sans jargon — pour comprendre quelles sont les hormones clés impliquées dans le SOPK, ce qu’elles font concrètement et comment leur déséquilibre influence ton cycle, ta santé et tes performances sportives.

L’objectif n’est pas de faire un cours magistral, mais de t’aider à mettre du sens sur les chiffres de tes bilans hormonaux, à mieux écouter ton corps et à reprendre la main sur ton équilibre hormonal.

Comprendre le SOPK : la base hormonale

Avant de parler de testostérone, d’insuline ou d’hormone anti-Müllérienne, il faut d’abord comprendre comment fonctionne ton système hormonal quand tout va bien — et ce qui se dérègle dans le SOPK. Car oui, le syndrome des ovaires polykystiques n’est pas qu’une histoire d’ovaires : il implique tout un axe de communication entre ton cerveau et tes ovaires, qu’on appelle l’axe hypothalamo-hypophyso-ovarien.

Le rôle de l’axe hypothalamo-hypophyso-ovarien dans le cycle normal

Imagine ton système hormonal comme une équipe de relais parfaitement synchronisée.

  • En haut, dans ton cerveau, l’hypothalamus envoie un signal sous forme d’hormone (la GnRH).
  • Ce signal stimule l’hypophyse, une petite glande située juste en dessous, à libérer deux messagères essentielles : la LH (hormone lutéinisante) et la FSH (hormone folliculo-stimulante).
  • Ces deux hormones descendent ensuite jusqu’aux ovaires, où elles orchestrent la croissance des follicules (les petits sacs qui contiennent les ovocytes) et déclenchent l’ovulation.

 

Dans un cycle équilibré :

  • La FSH aide les follicules à mûrir doucement en début de cycle.
  • La LH prend ensuite le relais, provoquant l’ovulation au milieu du cycle.
  • Après l’ovulation, les ovaires produisent les hormones féminines (œstrogènes et progestérone), qui régulent à leur tour le cycle et préparent le corps à une éventuelle grossesse.

 

Tout cela forme un équilibre hormonal dynamique, où chaque hormone stimule ou freine l’autre pour garder le rythme parfait. Mais dans le SOPK, cette belle coordination s’enraye un peu…

Qu’est-ce qui dysfonctionne chez les femmes avec SOPK ?

Chez les femmes atteintes de SOPK, le dialogue entre le cerveau et les ovaires se brouille. L’hypothalamus et l’hypophyse continuent d’envoyer des signaux, mais les messages deviennent déséquilibrés.

🔹 Une inversion du rapport LH/FSH

Normalement, la FSH domine en début de cycle, avant que la LH ne prenne le relais. Avec un SOPK, c’est souvent l’inverse : la LH reste trop élevée par rapport à la FSH.

Ce déséquilibre hormonal perturbe la croissance des follicules : ils commencent à se développer, mais ne parviennent jamais à maturité complète. Résultat ? Pas d’ovulation régulière, et donc des cycles longs, irréguliers ou absents.

🔹 Un blocage de la maturation folliculaire

Ce manque de maturation conduit à une accumulation de petits follicules immatures à la surface des ovaires. Ce n’est pas qu’ils sont “pleins de kystes” comme on l’entend parfois, mais plutôt qu’ils restent bloqués à un stade intermédiaire, faute de signal hormonal suffisant pour ovuler.

En parallèle, les ovaires continuent de produire des androgènes (hormones dites “masculines”) en excès, ce qui va amplifier les symptômes typiques du SOPK : acné, pilosité accrue, difficultés à stabiliser son poids…

Les hormones clés impliquées dans le SOPK

Les androgènes (testostérone, androsténédione…)

Les androgènes sont souvent présentés comme des hormones « masculines », mais en réalité, nous en produisons toutes — simplement, en quantité bien moindre que les hommes. Dans le SOPK, cette production devient excessive, notamment au niveau des ovaires et parfois des glandes surrénales.

Ce que cela provoque :

  • Une pilosité plus importante (menton, ventre, poitrine, mâchoire),
  • Des éruptions d’acné tenaces, surtout autour du bas du visage (mâchoire et cou)
  • Une alopécie (chute de cheveux) sur le haut du crâne,
  • Et parfois une prise de masse musculaire plus rapide.

 

Ce surplus d’androgènes perturbe aussi la maturation des follicules, empêchant souvent l’ovulation régulière. C’est l’une des signatures biologiques du SOPK — et aussi l’une des causes des symptômes qui pèsent le plus sur l’estime de soi.

L’hormone lutéinisante (LH) et l’hormone folliculo-stimulante (FSH)

Ces deux hormones, sécrétées par ton hypophyse, travaillent en duo pour réguler le cycle menstruel. La FSH fait mûrir les follicules, tandis que la LH déclenche l’ovulation. Dans le SOPK, on observe souvent une élévation du taux de LH tandis que la FSH reste normale, voire basse.

Résultat : le rapport LH/FSH est inversé (souvent 2:1 ou 3:1), ce qui empêche la croissance complète des follicules et bloque l’ovulation.

En d’autres termes, ton corps essaie de courir un marathon hormonal… avec des chaussures dépareillées : tout avance, mais pas dans le bon rythme. Ce déséquilibre entre LH et FSH est un indicateur clé du SOPK, souvent recherché dans les bilans sanguins.

L’hormone anti-Müllérienne (AMH)

Depuis quelques années, l’hormone anti-Müllérienne (AMH) a fait une entrée remarquée dans le monde du diagnostic du SOPK. Elle est produite par les petits follicules ovariens — ceux qui ne sont pas encore arrivés à maturité.

Chez les femmes avec SOPK, le nombre de ces petits follicules est élevé, donc le taux d’AMH est souvent supérieur à la moyenne.

👉 En clair : un taux d’AMH très élevé peut suggérer un SOPK, même si ce n’est pas un critère diagnostic à lui seul.

La recherche récente explore d’ailleurs le rôle actif de l’AMH dans le déclenchement même du déséquilibre hormonal, et non plus seulement comme simple témoin. Certaines études de l’Inserm évoquent même de nouvelles pistes thérapeutiques basées sur la régulation de cette hormone.

Pour toi, cela signifie qu’un suivi du taux d’AMH peut t’aider à mieux comprendre ta réserve ovarienne et ton profil hormonal global.

L’insuline et la résistance à l’insuline

 L’insuline est une hormone majeure dans le SOPK. Produite par le pancréas, elle régule le taux de sucre dans le sang. Chez de nombreuses femmes avec SOPK, le corps devient moins sensible à l’insuline — c’est ce qu’on appelle la résistance à l’insuline.

Pour compenser, le pancréas en produit encore plus, et cet excès d’insuline stimule la production d’androgènes au niveau des ovaires.

Un cercle vicieux s’installe : plus d’insuline → plus d’androgènes → plus de déséquilibre hormonal.

👉 Ce déséquilibre peut se manifester par :

  • une prise de poids, notamment autour de la taille,
  • une fatigue post-repas,
  • des fringales sucrées,
  • ou des difficultés à perdre du poids malgré une activité physique régulière.

Bonne nouvelle : le sport d’endurance et la musculation douce sont d’excellents moyens de réduire la résistance à l’insuline. La course à pied ou le triathlon — pratiqués avec une nutrition adaptée — peuvent donc devenir de véritables alliés hormonaux.

Autres hormones à surveiller (prolactine, thyroïdiennes, 17-hydroxy-progestérone…)

Enfin, certaines autres hormones peuvent être dosées pour éliminer d’autres causes de troubles du cycle ou d’hyperandrogénie (Ameli.fr) :

  • La prolactine, car un excès peut bloquer l’ovulation,
  • Les hormones thyroïdiennes (TSH, T3, T4), car une hypothyroïdie peut imiter certains symptômes du SOPK,
  • La 17-hydroxy-progestérone, pour écarter un trouble surrénalien rare.

Ce bilan différentiel est essentiel pour éviter de confondre un SOPK avec d’autres déséquilibres hormonaux.

Comment ces déséquilibres hormonaux se traduisent-ils dans la vie quotidienne ?

Troubles du cycle menstruel et ovulation anormale

L’un des signes les plus fréquents du SOPK, c’est le désordre du cycle menstruel. Les hormones ne sont plus bien synchronisées, et l’ovulation devient irrégulière, voire absente. Résultat :

  • des cycles très longs (parfois plus de 45 jours),
  • ou au contraire des règles qui se font rares,
  • voire aucune menstruation pendant plusieurs mois (aménorrhée).

Cette absence d’ovulation rend la planification familiale plus compliquée, mais elle a aussi d’autres conséquences : moins d’ovulation = moins de progestérone = cycles dominés par les œstrogènes, ce qui peut provoquer une fatigue accrue, des ballonnements, voire une prise de poids cyclique.

Et pour les femmes sportives, cela peut aussi impacter la performance et la récupération :

  • cycles imprévisibles,
  • variation d’énergie d’une semaine à l’autre,
  • difficultés à “sentir” ses phases hormonales.

 

👉 Si tu tiens un journal de cycle, tu pourras souvent repérer ces irrégularités et les corréler à ton ressenti physique (fatigue, humeur, performance). C’est une excellente base pour comprendre ton propre profil hormonal.

Symptômes « visibles » : hyperandrogénie, prise de poids, peau foncée

Les déséquilibres hormonaux du SOPK ne se cachent pas toujours : ils se voient et se ressentent. Les androgènes élevés (testostérone, androsténédione) sont à l’origine de plusieurs manifestations typiques, souvent sources d’inconfort ou de gêne.

Selon Ameli.fr :

  • L’acné hormonale persiste à l’âge adulte, souvent autour du menton ou de la mâchoire.
  • Une pilosité plus marquée peut apparaître sur le visage, le ventre, ou le dos.
  • À l’inverse, certaines femmes notent une chute de cheveux localisée sur le haut du crâne (alopécie androgénique).

 

Et ce n’est pas tout : l’insulinorésistance liée au SOPK peut aussi provoquer :

  • une prise de poids, surtout au niveau abdominal,
  • et parfois l’apparition de taches de peau plus foncées au niveau du cou, des aisselles ou de l’aine (ce qu’on appelle acanthosis nigricans).

 

Ces symptômes peuvent peser lourd sur la confiance en soi, surtout quand on est habituée à se sentir forte et en forme.

Impacts métaboliques à long terme : quand le SOPK dépasse les hormones

Le SOPK ne se limite pas à des symptômes “féminins” : il peut aussi influencer le métabolisme global, notamment à cause de la résistance à l’insuline.

Selon Gyneco-Online, ce déséquilibre augmente, sur le long terme, le risque de diabète de type 2 et de syndrome métabolique (un ensemble de troubles associant surpoids, tension artérielle élevée et anomalies du cholestérol).

👉 En clair :

  • le taux de sucre sanguin devient plus difficile à stabiliser,
  • le corps stocke plus facilement les graisses,
  • et la fatigue chronique s’installe, malgré une bonne hygiène de vie.

 

C’est pourquoi il est essentiel d’avoir une approche globale du SOPK : pas seulement hormonale, mais aussi nutritionnelle et métabolique.

La bonne nouvelle, c’est que l’activité physique régulière — comme la course à pied, le triathlon ou même la marche rapide — est un traitement naturel très efficace. Elle améliore la sensibilité à l’insuline, aide à réguler le poids et participe à rétablir un meilleur équilibre hormonal.

Quel bilan hormonal réaliser en cas de suspicion de SOPK ?

Quand faire le bilan hormonal (jours du cycle, contexte)

Le timing est capital pour un bilan hormonal fiable. Toujours selon Ameli.fr, la majorité des dosages se font en début de cycle, généralement entre le 2ᵉ et le 5ᵉ jour des règles. C’est la période où les hormones sont au plus “calmes” et donc plus faciles à interpréter.

Mais que faire si tes cycles sont irréguliers ou absents ?

Pas de panique : ton médecin peut te prescrire le bilan à un moment neutre du cycle, ou après induction de règles artificielles (par un traitement court à base de progestérone, par exemple).

Il est aussi important de préciser :

  • si tu prends une pilule ou un traitement hormonal,
  • si tu as récemment changé de contraception,
  • ou si tu as eu une période de stress, de blessure ou de forte charge sportive, car cela peut influencer les résultats.

 

💡 Petite astuce : note les symptômes que tu observes (cycle, fatigue, peau, humeur) avant le test. Cela aidera ton médecin à interpréter les dosages dans ton contexte personnel.

Les dosages clés à réaliser

Un bilan hormonal complet du SOPK explore plusieurs axes : l’activité ovarienne, l’équilibre hypophysaire, la production d’androgènes et le métabolisme.

Voici les principales hormones analysées :

  • LH (hormone lutéinisante) et FSH (hormone folliculo-stimulante) → pour évaluer la communication cerveau-ovaires.
    • Un rapport LH/FSH élevé (souvent > 2) est typique du SOPK.
  • Androgènes : testostérone totale et libre, androsténédione, DHEA-S → pour détecter une hyperandrogénie.
  • Hormone anti-Müllérienne (AMH) → souvent élevée chez les femmes avec SOPK, elle reflète le nombre de petits follicules ovariens.
  • Insuline à jeun et glycémie → pour détecter une résistance à l’insuline, fréquente dans le SOPK.
  • TSH (hormone thyroïdienne) → pour écarter un trouble de la thyroïde, qui peut imiter certains symptômes du SOPK.
  • Prolactine → car un excès peut perturber le cycle ou bloquer l’ovulation.

 

Selon les cas, ton médecin pourra aussi prescrire :

  • la 17-hydroxy-progestérone (pour écarter une cause surrénalienne),
  • un bilan lipidique et hépatique, si le SOPK s’accompagne d’un surpoids ou d’une résistance à l’insuline.

Ce que signifient les résultats (et ce qu’ils n’indiquent pas)

L’un des pièges les plus fréquents autour du SOPK, c’est de croire qu’un seul chiffre “anormal” suffit à poser un diagnostic. En réalité, le SOPK repose sur un ensemble de critères, définis par les recommandations médicales (Ameli.fr).

👉 Pour poser le diagnostic, il faut au moins deux des trois critères suivants :

  1. Troubles de l’ovulation (cycles irréguliers, absence d’ovulation),
  2. Hyperandrogénie (clinique ou biologique),
  3. Aspect “polykystique” à l’échographie (plus de 12 à 20 petits follicules par ovaire).

 

Mais attention :

  • Avoir des ovaires “polykystiques” à l’échographie ne veut pas forcément dire SOPK.

    Certaines femmes jeunes ou sportives présentent ce profil sans aucun autre signe hormonal.

  • De même, avoir un taux d’AMH élevé n’est pas une preuve absolue de SOPK : c’est un indicateur, pas un diagnostic.

Ton bilan hormonal est une boussole, pas une étiquette. Il sert à comprendre comment ton corps fonctionne aujourd’hui, pour ajuster ton mode de vie, ton entraînement ou ton suivi médical.

Et la meilleure approche, c’est de croiser les données : tes symptômes, ton ressenti, ton profil métabolique et ton vécu de femme sportive. Car le SOPK n’a pas la même expression chez une triathlète, une femme sédentaire ou une maman en post-partum — et c’est toute la beauté (et la complexité) de l’équilibre hormonal féminin.

Conclusion

Après ce tour d’horizon des hormones clés impliquées dans le SOPK, tu comprends sans doute mieux à quel point ce syndrome est complexe, mais surtout multifactoriel. Chaque hormone — qu’il s’agisse de la testostérone, de la LH, de la FSH, de l’AMH ou de l’insuline — joue une partition précise dans une symphonie qui, parfois, perd le rythme.

  • Les androgènes (comme la testostérone) : souvent trop élevés, ils sont responsables de certains signes visibles comme l’acné, la pilosité ou la chute de cheveux.
  • La LH et la FSH : leur rapport inversé perturbe la croissance des follicules et bloque souvent l’ovulation.
  • L’AMH : très utile pour évaluer la réserve ovarienne, elle est souvent plus élevée dans le SOPK.
  • L’insuline : son excès ou la résistance des cellules à son action entretiennent le déséquilibre hormonal global.
  • Et les autres hormones (thyroïdiennes, prolactine…) permettent d’éliminer d’autres causes possibles de symptômes similaires.

Chacune d’elles agit comme un indicateur précieux pour comprendre ton profil et ajuster ton mode de vie, ton entraînement et ton suivi médical.

Le SOPK ne se résume pas à un résultat d’analyse ou à une échographie. C’est une réalité hormonale unique à chaque femme, influencée par ton métabolisme, ton niveau d’activité, ton stress et même ton sommeil. C’est pourquoi il est essentiel de consulter un·e spécialiste — gynécologue, endocrinologue, médecin du sport ou nutritionniste — pour établir un bilan hormonal personnalisé.

Ce bilan te permettra de comprendre ton propre équilibre, d’adapter tes entraînements et de mettre en place des solutions ciblées qui respectent ton corps et ton rythme. Souviens-toi : l’objectif n’est pas d’avoir des hormones “parfaites”, mais de retrouver un équilibre qui te correspond.


Comprends-tu mieux le sac de noeuds de tes hormones à cause de ton SOPK ?

 

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