As-tu déjà entendu parler de Matahi ? Non ? Alors c’est le moment de réparer cette petite erreur ! 😉 J’ai eu l’occasion d’aller visiter les locaux de cette entreprise éthique la semaine dernière sur Montpellier, afin d’en apprendre plus sur ce qui me semblait être une jolie pépite…

En effet, j’ai eu l’occasion de découvrir les jus Matahi lors d’un événement organisé par Gretel Box dans les locaux d’AuFéminin.Com. J’avais été emballée par le produit que je trouvais très bon, conquise par le concept et agréablement surprise de voir une telle entreprise à Montpellier… Mais avant de mettre Matahi en avant, j’avais envie d’en apprendre plus afin de vérifier si ma première impression était la bonne… Et c’est chose faite !

Lors de ma venue, la semaine dernière, j’ai ainsi eu l’opportunité de discuter avec l’équipe de Matahi, de ses projets, ainsi que de ses produits.

Qu’est-ce que Matahi ?

Matahi est une entreprise montpelliéraine produisant des jus de fruit bio et naturels, à base de baobab. L’idée est venue à Raphaël et Alexandre, alors tous deux étudiants ingénieurs agronomes d’utiliser ce superfruit méconnu, un des fruits les plus antioxydants au monde. Durant l’un de leurs cours, ils découvrent toutes les vertus nutritionnelles de ce fruit, et notamment de ses bienfaits pour les sportifs. Que ce soit avant, pendant ou après l’entraînement…

De plus, ils remarquent qu’il n’existe absolument aucune boisson pour le sport, d’effort comme de récupération, qui soit naturelle et bio. Ainsi ils décident  d’en créer une qui le soit. Et ce, en utilisant le baobab.

Ils partent à la recherche d’une plantation de baobabs avec laquelle travailler. Et c’est au Bénin en 2009 qu’ils trouvent leur bonheur dans une coopérative de femmes.

Raphaël et Alexandre choisissent le nom de Matahi, signifiant la “force du vent” en Wolof, un dialecte sénégalais, afin de rappeler la naturalité de leurs boissons et de leur démarche… L’aventure Matahi est lancée…

Une entreprise entre éthique et développement durable

Entre 2012 et 2013, Raphaël et Alexandre réorganisent le fonctionnement de la coopération et enchaînent avec deux années de recherche afin de trouver la bonne recette pour leurs jus de baobab. Mais aussi le bon processus de fabrication afin de diminuer au maximum l’impact écologique de cette entreprise.

Ainsi cette coopérative de femmes permet de faire vivre 400 familles, soit 600 personnes, le temps de la récolte, de décembre à mars. La séparation de la pulpe des graines étend cette période d’activité. Aussi, suite au développement d’une gamme de produits contenant de l’hibiscus, des plantes ont été directement plantées sur place afin d’étendre à nouveau la période d’activité de la coopérative. Ainsi, la production de fruits de baobab pour Matahi permet de soutenir l’économie locale tout en valorisant le travail des femmes… Or, tu sais à quel point je suis sensible à ce genre de problématique de par ma formation universitaire et mes convictions personnelles…

À côté de cela, Raphaël et Alexandre font tout pour réduire l’impact de leur production sur l’environnement. Cela passe par le processus d’importation vers la France. Après avoir récolté les fruits du baobab, les femmes de la coopérative séparent la pulpe des graines. Celle-ci est réduite en poudre et envoyée par bateau une fois par an seulement à Montpellier : la poudre a l’avantage d’être plus légère et moins volumineuse que la pulpe, ce qui permet de faire un seul trajet par an…

De plus, Matahi est engagée dans une démarche “zéro déchet” où chaque partie du fruit est valorisée : les graines, une fois pressées, permettent de produire de l’huile cosmétique alors que les fibres et la coque sont à la base de la fabrication de savon.

À cela s’ajoute la volonté de s’inscrire dans une démarche de développement durable en favorisant la plantation de nouveaux arbres. Ainsi, 600 baobabs ont été plantés en 2016 et 2000 en 2017 : d’ici, une quinzaine d’années, ils produiront leurs premiers fruits… L’objectif étant d’assurer des revenus supplémentaires et pérennes aux paysans du Bénin.

Ainsi Matahi veut promouvoir une alimentation bio et naturelle tout en soutenant le développement durable et en favorisant le commerce équitable. Le tiercé gagnant ! Devant une telle éthique éco-responsable, je ne peux qu’applaudir !

Matahi : Des produits de qualité

Cependant, même avec la meilleur volonté du monde de bien faire et d’être éco-responsable, si le produit vendu n’est pas à la hauteur, l’entreprise est vouée à la faillite… Or, Matahi tire vraiment son épingle du jeu avec ses jus de baobab, de parfaites boissons naturelles et bio pour tous..

Deux gammes de produits ont été développées :

Pour avoir goûté toutes les saveurs, ce que j’ai apprécié dans les jus Matahi, c’est ce goût frais et léger, absolument pas sucré. C’est hydratant, c’est tout simplement très bon ! Et je te rassure, je n’ai pas été payée pour dire cela… Je suis juste devenue une consommatrice des jus Matahi après les avoir découvert en septembre… Et j’avais envie de te partager cette jolie découverte…

 

Matahi : une boisson pour les sportifs

Depuis le début de cet article, je ne cesse de dire que les jus Matahi constituent une boisson parfaite pour les sportifs, notamment la gamme Matahi Boost… Mais pourquoi ??? Il serait peut être temps de répondre à cette question !

En fait, c’est tout simplement grâce aux vertus nutritionnelles du baobab. Il s’agit tout simplement d’un des fruits les plus antioxydants au monde : le baobab est sept fois plus antioxydant que la grenade…

De plus, le baobab est très riche en vitamine C qui est essentielle au bon fonctionnement du métabolisme : il contient l’équivalent de 30 oranges en terme de vitamine C…  Or la vitamine C  réduit la fatigue et augmente l’endurance physique…

Pour finir, le baobab contient des minéraux – électrolytes étant le terme scientifique – très intéressants pour le sportif :

Le baobab sous forme de jus permet de continuer à hydrater le sportif pendant son effort. Pour finir la présence de guarana dans la gamme Matahi Boost vient rajouter un coup de boost au sportif…

Ainsi la consommation de Matahi Boost est intéressante que ce soit avant, pendant ou après l’effort :

Ce n’est pas pour rien que Matahi travaille main dans la main avec les équipes de Rugby de Montpellier et de Toulon, avec le club de Triathlon de Montpellier ainsi qu’avec d’autres sportifs de haut niveau tels que Margaux Fabre et Sharon Van Rouwendaal (respectivement Vice-Championne de France et Championne Olympique de nage en eau libre), Valentin Garat (Champion de France 2016 de Kitesurf) ou Camille Cabrol (Sélectionnée pour les JO de Pyeong Chang en ski acrobatique)

Matahi : le mot de la fin

Tu pourras retrouver ces petits jus dans les magasins bio ainsi qu’au Vieux Campeur et à Nature et Découverte, ou encore sur le site de Matahi :

Voilà j’avais envie de te faire découvrir Matahi parce que j’ai vraiment adoré les produits en eux-mêmes qui sont très bons, bien qu’un peu chers, il faut le reconnaître, mais aussi toute la démarche autour du processus de production. Comme toujours, mon avis est sincère.

Tu peux retrouver Matahi sur son site mais aussi sur facebook, instagram et twitter

 

Alors prête à aller goûter les jus Matahi et à abandonner les jus industriels ? 😉

 

P.S. : Un grand merci à Matahi et à son équipe de m’avoir reçue dans vos locaux. Ce fut une visite très instructive !! Et merci encore pour les photos !

 

 

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